PENSÉE 5 Le danger de ne rien aimer
Parfois, lorsque nous en venons à croire que nous n’avons pas notre place en ce monde, nous choisissons de vivre solitaires et isolés. C’est une façon de devancer les autres : nous choisissons de les rejeter avant qu’ils puissent nous rejeter.
Selon Erwin, lorsque nous abandonnons la voie de l’amour, nous pouvons facilement devenir agents de violence.
Erwin conclut son chapitre en disant ceci:
Nous nous trouvons devant un dilemme humain.
Nous désirons ardemment être accueillis et aimés.
Pourtant, nous paraissons incapables d’offrir ce que nous désirons le plus.
Les seuls prédateurs naturels de l’humanité sont les humains.
Nous sommes plus en sécurité dans la jungle que dans la ville.
Nous sommes notre pire ennemi.
Quelques questions
Selon toi, une carence d’amour se trouve-t-elle à la racine du terrorisme, du fanatisme et de la violence? L’amertume est-elle à la racine des actes de terreur et de destruction?
Sommes-nous incapables d’offrir l’amour inconditionnel que nous recherchons tous?
Notre incapacité à nous aimer les uns les autres explique-t-elle tous les actes de violence?
As-tu déjà fait appel à la violence pour régler un problème?
Comment réagis-tu lorsque d’autres usent de violence envers toi ou envers ceux que tu aimes?
Qu’en dis-tu?
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Tags: âme, amour, avide, club de lecture, Erwin Raphael Mcmanus, intimité, isolement, pensée, solitude, violence
