Nous ne fonctionnons pas très bien lorsque nous croyons que la vie est dénuée de sens.
Ce désir d’un sens peut nous pousser à croire n’importe quoi simplement pour échapper aux effets déstabilisants de l’incertitude. Et en autant que rien ne vienne déranger notre vision des choses, nous continuerons à adhérer à cette croyance, qu’elle soit vraie ou fausse.
Mais parfois, l’incertitude et les doutes nous poussent à partir à la découverte du sens de la vie. C’est ce qu’a fait Salomon. Certaines de ses paroles, tirées de ses réflexions, sont très connues. En voici quelques-unes, tirées du chapitre 3
de l’Écclésiaste et reprises par Sylvie Vartan en 1968, dans la chanson Tourne, tourne, tourne :Tout ici bas tourne, tourne, tourne
Avec les saisons tourne, tourne, tourne
Y a un temps pour chaque chose sur la terre
Le temps d’être née, le temps de mourir
Le temps de semer, le temps de cueillir
Le temps de tuer, le temps de guérir
Le temps de pleurer, le temps de rire […]
Selon Erwin, la conclusion de l’Ecclesiaste serait celle-ci :
Ayant cherché partout un sens à la vie,
Il conclut que sans Dieu, la vie n’a aucun sens
et que c’est seulement en Dieu
que nous pouvons espérer trouver
cette raison d’être que notre âme poursuit.
Quelques questions
Que penses-tu des pensées présentées dans ce chapitre?
Contentons-nous parfois de croire des faussetés plutôt qu’avouer nos doutes et notre incertitude?
Pouvons-nous trouver un sens à la vie seuls? As-tu réussi à trouver un vrai sens à la vie seul?
Pourquoi serait-ce possible pour Dieu de nous faire connaître le vrai sens de la vie?
Qu’en dis-tu?
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Tags: âme, avide, club de lecture, Dieu, Erwin Raphael Mcmanus, pensée, sens, vérité
fabuleusa pretic mi amore te himolame tratóros dombinenu. clissua te ngeis mograis nos reens o pexudir crerd movenverm bien.