La contemplation

Auteur : Anne-Marie Montgomery

Je me promène sur notre 200 m2 de terrain pour contempler pendant quelques moments cette vie foisonnante qui m’entoure quotidiennement.

Une douce brise estivale me caresse la joue; le soleil me baigne de ses rayons bienfaisants.

Je me ferme les yeux pour mieux entendre le doux gazouillis des oiseaux du quartier : moineaux, rouges-gorges et tourterelles tristes créent une musique de fond sans cesse renouvelée.

J’ouvre les yeux pour observer l’abeille qui bourdonne près des minuscules fleurs bleues des myosotis qui adornent notre plate-bande chaque printemps.

Dans la cour arrière, notre cerisier, lourd de fruits verts, sert de refuge non seulement aux oiseaux, mais aussi aux écureuils du coin.



Si le nom de Jésus-Christ ne figure plus à Noël, son influence continue.

Mes amis à TruthMedia ont préparé ce rant pour Noël. Je l'ai aimé, et donc je l'ai sous-titré.

Qu'en pensez-vous?

 

Le gazon est d’un vert étonnant… la pluie l’a arrosé abondamment ces derniers jours. Lorsque je l’observe de plus près, je constate la présence d’une variété d’espèces de plantes vertes et d’insectes, et non seulement de l’herbe.

Ma cour regorge de vie; mon quartier regorge de vie; cette planète entière regorge de vie.

Lorsque j’étais étudiante en biologie, je passais des heures chaque jour à étudier la complexité et la beauté de cette vie abondante. Cela me servait de rappel constant de la grandeur, de la sagesse et de la bonté du Créateur.

Parfois, j’essayais d’imaginer que cela n’était que le produit du hasard et du temps, mais je n’y arrivais jamais. Peut-être pouvais-je imaginer la création aléatoire d’une molécule ou d’une autre, mais imaginer que les milliers de molécules différentes nécessaires à la structure d’une seule cellule puissent se créer, au hasard, en même temps, dans un espace assez restreint pour qu’ils puissent former un tout viable et se reproduire avant de se désagréger? Cela exigeait une foi immense, une imagination bien plus grande que la mienne!

Lorsque j’entends une symphonie de Mozart, je n’attribue jamais l’œuvre au hasard. Je ne me dis jamais que cela est le produit d’une centaine de singes qui picotent au hasard une centaine d’instruments. Lorsque je contemple un tableau de Rembrandt, de Monet ou d’Emily Carr, je ne l’attribue jamais à quelques coups de pinceau envoyés à l’aveuglette. Je sais, instinctivement, que tout chef-d’œuvre a un chef d’œuvre, et je crois que nous savons tous, au plus profond de notre être, que la vie qui nous entoure, l’univers qui nous entoure, manifeste l’existence d’un Chef d’œuvre.

Cependant, il est facile de nier cette connaissance. Nous vivons dans un monde effréné qui n’encourage pas nécessairement la contemplation et la réflexion. Nous vivons dans un monde bruyant qui nous rend souvent sourds à la symphonie constante qui nous entoure. Nous vivons dans un monde distrayant qui nous rend souvent aveugles aux magnifiques tableaux vivants qui nous entourent…

Et, ayant perdu de vue le chef-d’œuvre, nous perdons aussi de vue le Chef de l’œuvre…

Depuis la création du monde, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité se voient dans ses œuvres quand on y réfléchit… Paul, disciple de Jésus

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